Plan d'action 2019-2020

 

Avant de commencer, les acteurs SÉRIEUX de cette bataille doivent comprendre que le problème à résoudre est la CATÉGORISATION et NON "la hausse des immatriculations".

Ce n'est pas la SAAQ qu’on doit questionner et remettre en question puisque la SAAQ exécute les lois et le mandat donné par le GOUVERNEMENT.

C'est donc au MTQ qu'il faut respectueusement s'adresser pour arriver à nos fins.

 

On prévoit un travail d'un an maximum pour :

  • Éplucher et analyser les documents de lois sur la Régie de l'assurance automobile du QC (1978) (document qui a amené le « NO FAULT » au Québec) ;

 

  • Éplucher et analyser les documents de la loi 55 qui a créé les catégories de véhicules routiers ;

 

  • Trouver les noms des personnes responsables de regroupements de véhicules qui sont aussi catégorisés par la loi 55 ;

 

  • Vérifier auprès des autres groupes d'utilisateur routier et voir quels sont leurs arguments – s’ils en ont ;

 

  • Préparer les mémoires pour présenter nos arguments contre la catégorisation au MTQ ;

 

  • En 2020, dès que la SAAQ présentera son plan de tarification pour les années 2022-2024, il faudra voir au mémoire sur « la tarification 2022-2024 » en nous appuyer sur le travail fait l'année précédente et compter sur le fait que le gouvernement Legault sera à sa 4e année… Élections…

 

Pour ce faire, nous avons besoin de personnes pour aider à tout ce travail.

Nous avons mis en place 4 comités importants :

 

  1. Loi RAAQ (1978) et Loi 55 (Catégorisation)
  • Établier des comparatifs, trouver les failles, No Fault, catégorisation, double pénalité, découplage des assurances vies, etc.)
  1. Table d’échange avec la SAAQ
  • Vérifier les informations en liens avec ce qui est trouvé dans nos recherches et garder nos liens de discussions pour apporter des propositions de correction (ex. : tenir compte des dossiers de conduite individuels, réduire les coûts pour les bons conducteurs, déplacer les assurances sur le permis, etc.)
  1. Communications
    • Aider dans les tâches de publications sur les réseaux sociaux, lire ce que les motocyclistes apportent comme idées, faire passer l’info au CA ou rectifier l’information sur Internet et sur un plus grand nombre de site possible.
  2. Activités
    • Rassembler des personnes bénévoles pour la JDL.

1 ou 2 personnes prêtes à sacrifier leur moto et arriver à la bénédiction en voiture pour le matériel...

En plus d'environ 20-25 autres personnes (stationnement, kiosque, montage du matériel, vente billets tirage comme l'an passé, "discussion" avec les motocyclistes avant les discours pour parler des "vrais" enjeux et de la réalité du problème.)

  • Préparer un groupe de bénévole pour s’occuper du Salon de la moto (possiblement à Québec et Montréal pour l’an prochain). Une équipe solide doit être monté à Québec, puisque présentement, aucun membre du CA n’est de cette région.

 

Les réunions des comités se font par Internet (WebEx) et tous les comités sont chapeautés par un membre du CA (pour faire le lien et rendre nos discussions efficaces.)

Cliquez sur ce lien pour donner votre nom et coordonnées et devenir bénévoles :  https://capm.ca/fr/benevole

P.S. Pour agir sur un comité, vous devez être inscrit comme MEMBRE du CAPM-E.

 

  • Le CAPM-E n'appuiera pas une manifestation basée sur les « hausses... », « contre la SAAQ », « contre le MTQ ». Les demandes d’appui seront analysées au cas par cas et aucune manifestation illégale ne sera soutenue.

 

  • Nous ne croyons pas à l’efficacité d’une injonction en ce moment considérant que l'avenue judiciaire a déjà été essayée sans succès.

 

  • Cependant, il n'est pas question pour nous de mettre des bâtons dans les roues de qui que ce soit. Nous prônons la libre expression et le droit d'agir de chacun.

 

  • Le CAPM-E ne croit pas que le gouvernement annulera les hausses d’immatriculation prévues par la SAAQ pour la période 2019-2021.

 

  • Ultimement, d’ici 2-3 ans, nous souhaitons mettre ne place un comité moto consultatif au gouvernement (Guichet Unique) pour nous permettre d’être consulté AVANT que le gouvernement fasse des changements afin de nous donner une position pro-active plutôt que ré-active.

Il est plus simple de contrer les problèmes qui peuvent survenir au lieu de tout défaire ce qui a déjà été mis en place par une loi.